Atlas – [Programme en Suspens]

Durée : 2 à 6 mois, départs tout au long de l’année

Public : Demandeurs d’emploi de 18 à 35 ans, résident d’Ille-et-Vilaine uniquement

Domaines d’activité : Tous domaines (Hôtellerie, tourisme, Social, Culture, Communication…)

Pays :  Uniquement les territoires de coopération du 35 soit Madagascar / Maroc / Jersey-Guernesey

Frais de participation à la charge du participant :  300 €


Jeunes à Travers le Monde (JTM) propose aux jeunes en recherche d’emploi et résidant en Ille-et-Vilaine le dispositif de Stage Atlas. Ce programme financé par le département d’Ille et Vilaine permet de bénéficier d’une immersion linguistique et professionnelle de 2 à 6 mois dans une structure d’accueil hors de l’Union Européenne. Une expérience de mobilité est une réélle plus-value pour une insertion professionnelle et/ou une reprise d’études/formation.
Le stage Atlas a pour objectif d’offrir une expérience favorisant le développement de nouvelles aptitudes (personnelles et professionnelles).


Le dispositif stage Atlas intègre :

  •  Un accompagnement par un.e chargé.e de mission JTM avant, pendant et après le stage
  •  Une préparation au départ et au retour (interculturelle, professionnelle et administrative)
  •  Un stage de 2 à 6 mois dans une structure hors de l’Union Européenn
  •  Un maintien de l’Allocation Retour Emploi / AAH / PCH / Allocation Garantie Jeunes pendant le stage
  •  Une convention de stage vous garantissant le maintien de votre bagage social français à l’étranger

Au retour de la mobilité, vous disposerez de :

  •  Une attestation de formation JTM (non certifiante)
  •  Un accompagnement à la valorisation des compétences

Vous souhaitez participer à ce programme ?

Remplissez un dossier de candidature, joignez les pièces demandées et envoyez le dossier à JTM : PDF / WORD

Plus d’informations : Plaquette / Dates de séminaire


Claire (Botswana, 3 mois) « Rester 3 mois dans un pays et en particulier dans un endroit avec une même équipe créer des liens. Je me suis sentie à l’aise très rapidement avec l’équipe de conservation, nous avons partagé
beaucoup de bons moments. Autant lors des travaux physiques un peu rudes que lorsque l‘on s’émerveillait devant les animaux de la réserve.
Les batswanas sont des gens vraiment très accueillants et amicaux, il a été très facile de rencontrer des gens sur place et de créer des liens d’amitiés avec certains d’entre eux.
J’ai été très étonnée par le climat apaisant de ce pays, où l’on se sent en sécurité même en voyageant seul. Bien sûr, comme partout, il faut faire attention à ne pas laisser ses affaires sans
surveillance etc. Ce voyage m’a également permis de casser les stéréotypes que je pouvais avoir sur l’Afrique et m’a donné l’envie d’en connaître un peu plus sur les autres pays de ce continent. Notamment, les pays
frontalier du Botswana sur lesquels on m’a informé durant mon séjour. »
Alicia (Burkina Faso, 6 mois) « Grâce à ce séjour j’ai l’impression de m’être retrouvée, d’avoir retrouvée une partie de moi-même. Ce voyage m’a permis de retrouver en quelque sorte mes origines, j’ai l’impression d’avoir
découvert un nouveau côté de ma personnalité. Dorénavant, j’assume pleinement mon côté africain que j’avais peut-être délaissé depuis quelques temps. Cela m’a donné envie de retourner chez moi à Mayotte, découvrir mes
origines, revoir ma famille de Mayotte un peu plus souvent. »
Lucile (Afrique du Sud, 6 mois) « Cette aventure m’a appris beaucoup sur moi, mes ressources, ma capacité à m’adapter à une autre culture et un nouveau mode de vie. J’ai très bien vécu l’éloignement vis-à-vis de mes proches et de mon pays lui-même, l’immersion a réellement été totale. J’ai appris énormément sur ce pays magique qu’est l’Afrique du Sud. Ce stage m’a aussi permis de définir plus clairement mes futurs projets professionnels, ou du moins la direction que je souhaitais leur donner. »

     

Ces projets sont soutenus et financés par différents partenaires, dont la Région Bretagne et la Commission européenne. Cette publication n’engage que son auteur et la Commission n’est pas responsable de l’usage qui pourrait être fait des informations qui y sont contenues